Dassault Systèmes annonce une forte croissance du chiffre d’affaires, du résultat et de la marge opérationnelle en 2010

Regulatory News:

Dassault Systèmes (Euronext Paris: #13065, DSY.PA)(Paris:DSY) publie ses résultats financiers non-audités en normes IFRS pour le quatrième trimestre et l’exercice clos le 31 décembre 2010. Ces résultats ont été revus par le Conseil d’administration de la Société le 9 février 2011.

Résultats financiers

• Dassault Systèmes a atteint tous ses objectifs en 2010 ;
• Augmentation du chiffre d’affaires 2010 de 20% à 1,56 milliard d’euros en IFRS et de 21% à 1,58 milliard d’euros en non-IFRS ;
• Hausse de 30% du chiffre d’affaires 2010 des nouvelles licences en IFRS et non IFRS, à taux de change constants
• Croissance du BNPA 2010 de 27% à 1,82 euro en IFRS et de 34% à 2,50 euros en non-IFRS ;
• Flux de trésorerie opérationnels de 408 millions d’euros en 2010 ;
• Bonnes performances des réseaux de vente et réussite de l’intégration d’IBM PLM ;
• Gain de plus de 16 000 nouveaux clients en 2010

Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes a déclaré :

« En un mot, Dassault Systèmes a remarquablement terminé une excellente année 2010. Avec le renforcement de notre carnet de commandes au quatrième trimestre, la hausse des ventes de nouvelles licences à taux de change constants a été de 33% au cours de cette période. L’ensemble de nos marques et de nos réseaux de vente a contribué à cette performance. Nous avons par ailleurs remporté de nombreux contrats V6, avec des clients nouveaux aussi bien qu’existants, et nous sommes donc un point d’inflexion dans l’adoption de nos applications V6 PLM 2.

Dassault Systèmes a aussi réalisé de très bons résultats sur l’ensemble de l’année : en hausse de 30% à taux de change constants, les ventes de nouvelles licences reflètent clairement le succès que constitue l’intégration d’IBM PLM. Notre bénéfice net par action en non-IFRS progresse de 34%, grâce à une marge opérationnelle non-IFRS de 28,6%. Ces chiffres mettent en évidence le vif intérêt suscité par notre offre, avec un chiffre d’affaires logiciel en croissance à deux chiffres pour chacune de nos marques. La diversification de notre base clients a progressé avec, en particulier, une bonne année dans les secteurs de l’énergie et des hautes technologies. Enfin, l’industrie automobile et les équipements industriels ont réalisé une bonne croissance.

A ce jour, plus de 600 sociétés ont, pour de nombreuses raisons, choisi le PLM 2 avec la V6. Parmi ces raisons figurent l’intérêt que suscitent son architecture « online », ses fonctionnalités de collaboration en temps réel, ainsi que de création, de gestion et de protection de la propriété intellectuelle. Avec la V6, nous nous développons aussi dans de nouveaux domaines tels que les systèmes embarqués. Nous sommes heureux à ce sujet, d’annoncer aujourd’hui que BMW a choisi la V6 en tant que nouvelle plateforme d’architecture, d’intégration et de conception de ses systèmes embarqués. En fait, nos clients nous confirment que le meilleur vecteur de collaboration entre leurs fournisseurs et leurs partenaires, tout en assurant la protection de leur propriété intellectuelle est le PLM 2 avec la V6.

En 2011, notre objectif consiste, à accélérer, à l’échelle mondiale, notre diversification dans tous les secteurs économiques, grâce à nos applications développées sur notre moteur de recherche (SBA) ainsi qu’à notre focalisation sur l’innovation via les plates-formes communautaires. Enfin, comme l’indiquent nos objectifs financiers, 2011 devrait être une nouvelle année de bonne performance avec une croissance à deux chiffres de nos ventes de nouvelles licences. »

Le 31 mars 2010, Dassault Systèmes a finalisé l’acquisition d’IBM PLM, et l’a intégrée à ses activités PLM à compter du 1^er avril 2010. En raison du succès de l’intégration des anciens salariés d’IBM PLM au sein de la Société et des nombreux changements de périmètre et de responsabilités intervenus à cette occasion, il est impossible d’isoler le chiffre d’affaires et le résultat générés par IBM PLM depuis la date d’acquisition. Comme cela a été précédemment indiqué, la part d’IBM PLM dans le chiffre d’affaires logiciel de Dassault Systèmes est estimée à environ 53 millions d’euros au quatrième trimestre 2009 et à 151 millions d’euros pour la période de neuf mois allant d’avril à décembre 2009.

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires du quatrième trimestre est en hausse de 29% en normes IFRS et de 31% en non-IFRS. La croissance du chiffre d’affaires logiciel IFRS est de 32% et de 33% en non-IFRS.
• En normes IFRS (et non-IFRS), les ventes de nouvelles licences ont augmenté de 33% à taux de change constants grâce à la forte contribution de l’ensemble des réseaux de vente et des marques de la Société.
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires logiciel récurrent IFRS est en hausse de 31% et de 33% en non-IFRS. Cette progression s’explique par une amélioration du taux de renouvellement des contrats de maintenance et par la croissance de l’activité en 2010 par rapport à 2009. Au quatrième trimestre 2010, le chiffre d’affaire logiciel récurrent non-IFRS comprenait pour environ 11 millions d’euros de frais de retours sous maintenance et autres revenus de nature non récurrente.
• Le chiffre d’affaires services IFRS et non-IFRS a contribué à la progression du chiffre d’affaires total avec une hausse de 11% à taux de change constants.
• En normes IFRS, le chiffre d’affaires logiciel PLM progresse de 34%. En non-IFRS, il a augmenté de 36%, avec un chiffre d’affaires logiciel en hausse de 43% pour CATIA, de 32% pour ENOVIA et de 21% pour les autres solutions PLM. (à taux de change constants).
• Le chiffre d’affaires IFRS et non-IFRS logiciel de conception mécanique 3D a augmenté de 22% à taux de change constants. Le nombre de nouvelles licences SolidWorks s’élève à 11 983 unités, en hausse de 22% au quatrième trimestre.
• Le résultat net IFRS est en hausse de 36% au quatrième trimestre. Le BNPA est en baisse de 2% et reflète principalement la faiblesse du taux d’imposition effectif au cours de la même période de l’année précédente, provenant de crédits d’impôts non-récurrents. Le BNPA non-IFRS a progressé de 22% à 0,83 euro et s’explique pour l’essentiel par une hausse de 43% du résultat net. La marge opérationnelle IFRS au quatrième trimestre s’établit à 27,0%. Elle progresse en non-IFRS, à 33,9% au dernier trimestre 2010, contre 32,6% au cours de la même période de 2009.

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires IFRS et non-IFRS a augmenté de 20% et 21% respectivement, avec un chiffre d’affaires logiciel en hausse de 23% en normes IFRS et de 24% en non-IFRS. La Société a bénéficié d’une dynamique favorable de l’activité sur les marchés qu’elle cible et de l’augmentation, par rapport à 2009, des investissements dans l’industrie automobile et les équipements industriels. Par zone géographique et à taux de change constants, l’Europe représente environ 45% du chiffre d’affaires total, l’Amérique, 29% et l’Asie, 26%.
• Les ventes de nouvelles licences (en normes IFRS et non-IFRS) ont augmenté de 30% à taux de change constants, bénéficiant de la contribution de chacune des six marques de la Société.
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires logiciel récurrent est en progression de 21% en IFRS et de 23% en non-IFRS ; il représente en 2010 environ 72% du chiffre d’affaires logiciel total, contre 73% en 2009.
• Le chiffre d’affaires services IFRS et non-IFRS est en hausse au second semestre 2010 mais diminue de 3% à taux de change constants pour l’année en raison du recul de l’activité logiciel en 2009.
• Le chiffre d’affaires logiciel PLM progresse de 26% en normes IFRS et de 27% en non-IFRS. Le chiffre d’affaires logiciel est en hausse de 31% pour CATIA, de 29% pour ENOVIA et de 16% pour les autres solutions PLM (à taux de change constants).
• Le chiffre d’affaires logiciel de conception mécanique 3D a atteint le niveau record de 311,5 millions d’euros en normes IFRS et non-IFRS ; il s’explique par une hausse de 18% du nombre des nouvelles licences SolidWorks, qui s’établit à 42 205 unités, et par l’augmentation des ventes de logiciels de simulation et de gestion de données produits. Le nombre total de licences SolidWorks vendues, tant pour les entreprises que dans le monde de l’éducation, a dépassé 1,5 million à la fin 2010.
• Le résultat net IFRS est en hausse de 39,4% à 322,0 millions d’euros et de 44,0% à 451,7 millions d’euros en non-IFRS. La marge opérationnelle non-IFRS est en ligne avec les objectifs de la Société. Elle s’établit à 28,6% en 2010 contre 25,0% en 2009 et reflète l’efficacité de la gestion de Dassault Systèmes. Cette marge a également bénéficié de l’impact des variations de change et d’un reclassement en impôt sur les bénéfices de la CVAE, qui a remplacé la Taxe Professionnelle, auparavant comptabilisée en charge d’exploitation.
• Le résultat net dilué par action en hausse de 27,3% à 1,82 euro en IFRS et de 34,4% à 2,50 euros en non-IFRS explique la forte croissance du résultat net.

Flux de trésorerie et autres chiffres clés

Les flux de trésorerie opérationnels en normes IFRS s’élèvent à 408,3 millions d’euros en 2010, comparés à 297,9 millions d’euros en 2009.

La trésorerie nette de la Société est de 845,7 millions d’euros au 31 décembre 2010, comparée à 858,0 millions d’euros au 31 décembre 2009. Au 31 décembre 2010, les disponibilités et placements à court terme ainsi que la dette à long terme de la Société s’élèvent respectivement à 1,14 milliard d’euros et 293,4 millions d’euros, comparés à 1,06 milliard d’euros et 200,0 millions d’euros à fin 2009. Les principaux décaissements en 2010 proviennent d’acquisitions, pour un montant total de 462,5 millions d’euros et du versement d’un dividende de 54,5 millions d’euros.

Faits marquants

Dans un communiqué publié séparément aujourd’hui, Dassault Systèmes a annoncé que BMW mettait en œuvre la solution PLM V6 pour l’architecture, l’intégration et la conception de systèmes embarqués. Dassault Systèmes a annoncé que BMW avait sélectionné la solution V6 PLM de développement de la future architecture électrique, électronique et logiciels embarqués (E/E) des voitures BMW, qui concerne des milliers d’ingénieurs.

La solution d’innovation collaborative ENOVIA V6 contribue à améliorer et intégrer la collaboration et la gestion de données produits au sein de LG Electronics. Le 3 novembre 2010, Dassault Systèmes a annoncé que LG Electronics (LG) a adopté avec succès la solution ENOVIA V6. Conçue pour améliorer et intégrer la collaboration et la gestion de données produits, cette solution a été déployée dans les processus de R&D, de fabrication et d'achats de la division Mobile Communications (MC) de LG, par la société de services informatiques LG CNS et par Dassault Systèmes. Suite à son installation initiale au sein de la division MC, la solution ENOVIA V6 sera progressivement étendue à l’ensemble de l’Entreprise afin de soutenir l’intégralité du processus de développement produits.

Bell Helicopter améliore la collaboration et les délais de mise sur le marché grâce à la plate-forme PLM V6 de Dassault Systèmes. Dassault Systèmes a annoncé le 9 novembre 2010 queBell Helicopter, une société du groupe Textron, utilise la plate-forme PLM V6 afin d’améliorer la collaboration et les délais de mise sur le marché de ses nouveaux hélicoptères. Dans le cadre d'une initiative visant à améliorer ses processus industriels et à mettre à niveau les systèmes en service au sein de l'Entreprise, Bell Helicopter s’appuie sur la gamme complète de logiciels PLM de Dassault Systèmes, incluant ENOVIA V6, CATIA V6, DELMIA V6, 3DVIA V6 et SIMULIA V6. A terme, le projet sera déployé auprès de 6 000 collaborateurs.

Le groupe d’habillement Mammut Sports Group AG adopte la solution ENOVIA V6 de Dassault Systèmes. Le 18 novembre 2010, Dassault Systèmes a annoncé que Mammut Sports AG, fabricant suisse d'articles de sports de montagne, a choisi la solution ENOVIA V6 pour gérer ses processus de développement, de la conception initiale des produits jusqu'à l'approvisionnement, la fabrication et les ventes. La Société souhaite rassembler les informations liées à l’ensemble de ses produits au sein d’une base de données unique et remplacer les fastidieuses méthodes manuelles de recherche et de consolidation des données, sujettes à de nombreuses erreurs lors d’échanges en interne, mais aussi avec ses fournisseurs externes.

Ran-tech Engineering & Aerospace, équipementier aéronautique et défense pour Airbus et Boeing, utilise la plate-forme V6 de Dassault Systèmes pour ses processus de fabrication et de conception et de collaboration au sein de la Société. Le 15 décembre 2010, Dassault Systèmes a annoncé que Ran-tech utilisera les solutions DELMIA V6 Machining afin de créer et contrôler virtuellement l’ensemble des processus de production, et CATIA V6 Design pour la création de produits innovants.

Dassault Systèmes renforce la structure de ses opérations internationales et nomme Jeff Ray au poste nouvellement crée de Directeur Général Adjoint, Geography Operations. Le 5 janvier 2011 Dassault Systèmes a annoncé que Jeff Ray, précédemment CEO de SolidWorks aura désormais pour mission de superviser les activités de la Société dans tous les pays où elle est implantée, afin de procurer aux équipes locales les moyens de mieux répondre à la demande de ses clients et partenaires, ainsi que d'exploiter au maximum le potentiel de croissance de ses marchés cibles. Dans le même temps, Bertrand Sicot a été nommé directeur général de SolidWorks. Ces changements ont pris effet le 5 janvier 2011.

Dassault Systèmes a annoncé ses objectifs financiers à cinq ans lors de sa conférence investisseurs (« Capital Markets Day ») du 15 juin 2010. Dassault Systèmes a présenté son plan de développement sur les années à venir avec un objectif à cinq ans visant à plus que doubler le BNPA non-IFRS par rapport à 2009. Les présentations et leur retransmission sont disponibles sur le site internet de Dassault Systèmes : www.3ds.com/company/finance/overview.

Perspectives

Thibault de Tersant, Directeur Général Adjoint, Affaires Financières a déclaré :

« Tous nos objectifs, tant financiers qu’opérationnels, ont été atteints en 2010. Ce fut une année gratifiante, marquée par l’intégration d’IBM PLM, mais aussi par l’expansion de nos marchés adressables, avec les acquisitions d’Exalead dans le domaine des applications utilisant une technologie de moteur de recherche et de Geensoft dans la gestion de systèmes embarqués, et enfin d’investissement organique, pour renforcer nos infrastructures et nos équipes, avec une croissance de nos effectifs de 15% en 2010. Cette année 2010 marque un début prometteur pour l’atteinte de nos objectifs à 5 ans.

« Avec des clients dans plus de 80 pays, représentant une grande diversité d’industries, la présence mondiale de Dassault Systèmes est bien réelle. Dans chaque pays où nous sommes implantés, nous sommes soucieux de mettre des équipes locales au service des clients. Nous sommes d’ores et déjà bien positionnés, grâce à nos effectifs qui comptent plus de 90 nationalités différentes et au leadership de Jeff Ray, récemment nommé à la tête des « Geography Operations ».

En ce qui concerne l’année 2011, tant le chiffre d’affaires du quatrième trimestre 2010 que les nombreuses opportunités qui se présentent nous confortent dans notre anticipation d’une amélioration progressive de l’investissement chez nos clients. Néanmoins, nous estimons que l’environnement économique mondial pourrait demeurer volatil. Au total, nous visons un objectif de croissance du chiffre d’affaires des nouvelles licences d’environ 15% à taux de change constants, une augmentation significative de notre chiffre d’affaires logiciel récurrent, en dépit du montant élevé des rattrapages de maintenance, de nature non récurrente, en 2010 et une nouvelle amélioration de notre marge opérationnelle.

Les objectifs initiaux de la Société pour 2011 sont les suivants :

• Pour le premier trimestre 2011 : objectif de chiffre d’affaires non-IFRS compris dans une fourchette d’environ 390 à 400 millions d’euros, objectif de marge opérationnelle non-IFRS d’environ 25% à 26% et objectif de BNPA non-IFRS compris dans une fourchette d’environ 0,53 à 0,57 euro ;
• Objectif de croissance du chiffre d’affaires non-IFRS 2011 d’environ 9% à 11% à taux de change constants (soit 1,68 à 1,71 milliard d’euros sur la base des hypothèses de taux de change 2011 présentées ci-dessous) ;
• Objectif de marge opérationnelle non-IFRS 2011 d’environ 29,0 % ;
• Objectif de BNPA non-IFRS 2011 compris dans une fourchette d’environ 2,64 euros à 2,75 euros équivalent à une croissance d’environ 6% à 10% ;
• Les objectifs sont fondés sur des hypothèses de taux de change pour le premier trimestre et pour l’année 2011 de 1,40 dollar US pour 1,00 euro et de 120 JPY pour 1,00 euro.
• Lors du calcul de son objectif de croissance du chiffre d’affaires, la Société a pris en compte le fait que le chiffre d’affaires logiciel récurrent du quatrième trimestre 2010 non-IFRS, comprend environ 11 millions d’euros de retours sous maintenance et d’autres ajustements de nature non récurrente.

Les objectifs de la Société sont uniquement établis et communiqués sur une base non-IFRS et font l’objet des précautions détaillées ci-après.

Les objectifs non-IFRS décrits ci-dessus ne prennent pas en compte les éléments comptables suivants et sont estimés sur la base des taux de change 2011 indiqués précédemment : le traitement comptable des produits constatés d’avance estimé à environ 1 million d’euros pour 2011 ; les charges relatives à l’attribution d’actions gratuites et de stock-options estimées à environ 15 millions d’euros pour 2011 et l’amortissement des dépenses liées à l’acquisition d’actifs incorporels estimé à environ 80 millions d’euros pour 2011. Les objectifs ci-dessus ne prennent pas en compte l’impact des autres produits et charges opérationnels, nets, notamment liés aux dépenses d’acquisition, d’intégration et de restructuration. Ces estimations n’incluent pas d’éventuelles nouvelles attributions de stock-options ou d’actions, ni de nouvelles acquisitions ou restructurations après le 10 février 2011.

Réunion retransmise en webcast et conférence téléphonique

Dassault Systèmes organise une réunion retransmise en webcast puis une conférence téléphonique aujourd’hui, jeudi 10 février 2011. Le management tiendra une réunion retransmise en webcast à 10h00 heure de Londres / 11h00 heure de Paris et une conférence téléphonique à 09h00 heure de New York / 14h00 heure de Londres / 15h00 heure de Paris. Cette réunion retransmise en webcast et cette conférence sont accessibles par Internet sur le site . Veuillez vous rendre sur le site au moins quinze minutes avant le début de la réunion retransmise en webcast ou de la conférence pour vous enregistrer, télécharger et installer tout logiciel audio nécessaire. Les enregistrements de la réunion retransmise en webcast et de la conférence seront disponibles pendant 30 jours.

Les informations complémentaires destinées aux investisseurs sont accessibles sur le site http://www.3ds.com/company/finance/ ou en téléphonant au service Relations Investisseurs de Dassault Systèmes au +33 (0) 1.61.62.69.24.

Avertissement concernant les déclarations relatives aux perspectives d’avenir de la Société

Ce document présente des informations qui ne sont pas de nature historique mais qui expriment des attentes ou des objectifs pour le futur, notamment, de façon non limitative, les déclarations concernant les objectifs non-IFRS de performance financière de la Société. Ce sont des informations relatives aux perspectives d’avenir de la Société.

Ces perspectives d’avenir sont fondées sur les avis et hypothèses actuellement retenus par la Direction de la Société et prennent en compte un certain nombre d’incertitudes et de risques connus et non connus. En conséquence, les résultats ou les performances qui seront réalisés sont susceptibles d’être substantiellement différents des résultats et des performances anticipés, du fait de plusieurs facteurs. Les perspectives 2011 actuelles de la Société prennent en compte comme hypothèse que la reprise économique mondiale se prolongera, mais si l’amélioration de l’environnement économique et des conditions de marché était davantage ralentie qu’anticipé, ou si ces conditions restaient stables ou se dégradaient, les résultats de la Société pourraient ne pas suivre les prévisions actuelles et rester en dessous de leurs niveaux antérieurs pour une période de temps prolongée. Pour fixer ces perspectives, la Société a pris l’hypothèse de taux de change moyens de 1,40 dollar U.S. pour 1,00 euro et de 120 JPY pour 1,00 euro pour l’année 2011. Cependant, les cours des devises varient et peuvent affecter significativement les résultats de la Société. Les résultats et performance de la Société peuvent également être affectés par les évolutions de la conjoncture, les difficultés ou changements défavorables affectant ses partenaires ou les rapports avec ses partenaires ; les variations de taux de change ; le développement de nouveaux produits et les évolutions technologiques ; les erreurs ou défauts des produits de la Société ; la croissance des parts de marché des concurrents de la Société ; et l’occurrence de tout risque lié à l’intégration de toute société nouvellement acquise ou à toute réorganisation interne. Des évolutions défavorables de ces facteurs ainsi que d’autres événements tels que décrits dans l’information réglementaire de la Société, notamment le Document de référence 2009 ou le Rapport financier semestriel 2010 déposés auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril et le 2 août 2010 respectivement, pourraient sensiblement affecter la situation financière de la Société ou ses résultats.

Information financière complémentaire non-IFRS

Les données complémentaires non-IFRS (précédemment dénommées « IFRS retraité ») présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Rapport annuel de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2009, inclus dans le Document de référence 2009 et dans le Rapport financier semestriel déposés auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2010 et le 2 août 2010 respectivement.

Information financière complémentaire à taux de change constants

Lorsque la Direction de la Société pense que cela peut être utile à la compréhension des tendances de l’activité, la Société met à disposition des pourcentages de variation de son chiffre d’affaires (en normes IFRS aussi bien qu’en non-IFRS) pour éliminer l’impact de la variation des taux de change, en particulier pour ce qui est de l’euro / U.S. Dollar et de l’euro / JPY. Dans le cas où l’information est susnommée « à taux de change constants », les données de la période « actuelle » ont été recalculées sur la base des taux de change moyens de la même période de l’année précédente, puis comparées aux données de la même période de l’année précédente.

A propos de Dassault Systèmes

Leader mondial des solutions 3D et de gestion du cycle de vie des produits (Product Lifecycle Management ou PLM), Dassault Systèmes apporte de la valeur ajoutée à plus de 130 000 clients, répartis dans plus de 80 pays. Pionnier du marché du logiciel en 3D depuis 1981, Dassault Systèmes développe et commercialise des logiciels d'application PLM et des services qui anticipent les processus industriels de demain et offrent une vision 3D de l'ensemble du cycle de vie d'un produit, de sa conception à sa maintenance. L’offre de Dassault Systèmes se compose de CATIA pour la conception virtuelle de produits, SolidWorks pour la conception mécanique en 3D, DELMIA pour la production virtuelle, SIMULIA pour la simulation et les tests virtuels, ENOVIA pour la gestion collaborative et globale du cycle de vie et 3DVIA pour des expériences 3D vécues en-ligne comme dans la vie réelle. Les actions de Dassault Systèmes sont cotées sur NYSE Euronext Paris (#13065, DSY.PA) et les American Depositary Shares (ADR) de Dassault Systèmes peuvent être échangés sur le marché hors cote américain (OTC) (DASTY). Pour plus d’informations : http://www.3ds.com

CATIA, DELMIA, ENOVIA, SIMULIA, SolidWorks et 3DVIA sont des marques déposées de Dassault Systèmes ou de ses filiales aux USA et/ou dans d'autres pays.

TABLE DES MATIERES

Chiffres clés non-IFRS

Compte de résultat consolidé

Bilan consolidé

Tableau de flux de trésorerie consolidés

Réconciliation IFRS - non-IFRS

DASSAULT SYSTEMES
CHIFFRES CLES non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action, effectif de clôture et taux de change)

Les chiffres clés non-IFRS excluent les amortissements des actifs incorporels acquis, les coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock-options et le traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions ainsi que les autres produits et charges opérationnels, nets.

Les données en normes IFRS et la réconciliation des données en normes IFRS et non-IFRS sont présentées dans les tableaux présentés séparément.

(1) L’acquisition d’IBM PLM est présentée nette des paiements reçus d’IBM au titre du règlement des royalties dues au 31 mars 2010. En conséquence, les flux de trésorerie opérationnels sont plus bas pour les périodes présentées ci-dessus qu’ils l’auraient été si la transaction ne s’était pas produite.

DASSAULT SYSTEMES
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2009 et le Rapport financier semestriel 2010 de la Société déposés auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2010 et le 2 août 2010 respectivement. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

(1) Dans le tableau de rapprochement ci-dessus, (i) tous les retraitements des données de chiffre d’affaires IFRS correspondent à l’exclusion du traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, (ii) tous les retraitements des données de charges opérationnelles IFRS correspondent à l’exclusion de l’amortissement des incorporels acquis, des coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock options et des autres produits et charges opérationnels, nets, et (iii) tous les retraitements des données de résultat net IFRS correspondent à l’impact combiné de ces différents ajustements, plus, en ce qui concerne le résultat net et le résultat net par action, l’impact fiscal des retraitements ci-dessus.

2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 123,0 millions d’actions diluées pour le T4 2010 et de 119,2 millions d’actions diluées pour le T4 2009.

DASSAULT SYSTEMES
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2009 et le Rapport financier semestriel 2010 de la Société déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2010 et le 2 août 2010 respectivement. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

(1) Dans le tableau de rapprochement ci-dessus, (i) tous les retraitements des données de chiffre d’affaires IFRS correspondent à l’exclusion du traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, (ii) tous les retraitements des données de charges opérationnelles IFRS correspondent à l’exclusion de l’amortissement des incorporels acquis, des coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock options et des autres produits et charges opérationnels, nets, et (iii) tous les retraitements des données de résultat net IFRS correspondent à l’impact combiné de ces différents ajustements, plus, en ce qui concerne le résultat net et le résultat net par action, l’impact fiscal des retraitements ci-dessus.

(2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 121,2 millions d’actions diluées en 2010 et de 118,5 millions d’actions diluées en 2009.